Année
2000
Abstract
Poser la question de l’humanisme du futur implique de savoir ce que fut celui du passé et ce qu’est celui du présent. L’humanisme veut, à l’origine (Renaissance européenne) sauver l’homme des autorités qui le décentrent de lui-même. Mais le destin de l’humanisme est de séparer l’homme de lui-même en le coupant des mondes naturel et divin. Il convient, pour retrouver le souffle et la puissance de don de l’humanisme, de centrer à nouveau l’homme entre terre et ciel. Ce recentrage de l’humain implique une compréhension renouvelée des sexualités.
BIBARD, L. (2000). Quel humanisme pour le XXIème siècle ? ESSEC Business School.