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Year
2020
Abstract
Dans le cadre de son plan de relance, le gouvernement a décidé de financer la transition écologique à hauteur de 30 milliards d’euros par dette et non par hausse d’impôt, pour des raisons électoralistes. Outre qu’il n’est pas assuré que les taux restent bas à l’avenir, ce choix va faire peser l’accroissement de cet endettement sur les futures générations au profit des générations actuelles. Un tel choix est non seulement économiquement discutable mais éthiquement critiquable.
GUYOT, M. et VRANCEANU, R. (2020). Les effets pervers d’une écologie à crédit. La Tribune.